On recherche, à bon doit, une parole puissante. Qu'il s'agisse du courrier que l'on voudrait persuasif, de la demande de subvention, du communiqué de presse probant, d'une newsletter, d'un billet de blog recherché, etc. : il y a là toutes sortes de missions que le rédacteur habile peut assurer.

Quelques conseils à propos de la rédaction de discours et du choix d'un prête-plume !

Comment trouver un prête-plume ?

Focus sur la rédaction de discours

En réalité, derrière les 5, 10 ou 20 minutes que durera la prise de parole, plusieurs heures de préparation sont nécessaires.

Celui qui va s’exprimer est traversé de questions. Parfois d’inquiétudes. Quel que soit le degré de familiarité qu’il entretient avec l’exercice, il ne saurait passer outre ces interrogations :

  • Comment structurer mon discours ?

  • Comment l’introduire et le conclure ?

  • Quels sont les exemples et anecdotes pour renforcer l’allocution ?

  • Comment personnaliser ce discours afin de toucher un auditoire singulier ?

Et lorsqu’il s’agit d’un exercice nouveau, bien d’autres points se présentent à l’esprit :

  • Quelles sont les règles de base pour écrire un discours ?

  • Comment faire en sorte qu’il soit convaincant ?

  • Y a-t-il des pièges et des erreurs qu’il faut à tout prix éviter ?

Conseils pour réussir son discours

Il y a des trucs, des conseils, des astuces, ou tout ce que l’on voudra encore, mais il n’y a pas de règles. Pour le dire différemment, s’il est assez aisé d’identifier les critères du mauvais discours, on peine davantage à relever ceux qui font le succès. La bonne prise de parole est toujours circonstanciée, toujours liée à son énonciateur. Elle sonne juste parce qu'elle est unique.

Le mauvais discours, quant à lui, donne le sentiment du vide. Il ne s’est rien passé. Des mots ont été prononcés, par milliers, mais rien n’a été dit. Dans le meilleur des cas, l’auditeur s’ennuie. Dans le pire, il s’agace. Dans le meilleur des cas, l’orateur ne perçoit pas l’effet qu’il suscite. Dans le pire, il en prend conscience et perd ses moyens. En somme, avant même de chercher à plaire, il est bon de se garder des manières qui déplaisent.

Parmi elles, le trop grand nombre de détails, ou ces informations intelligibles à l’écrit, mais difficilement assimilable sans support visuel. On se gardera donc d'énumérer trop de chiffres, on partira toujours du principe que les informations peuvent s’annuler les unes les autres lorsque leur voisinage est mal orchestré.

Dans un même ordre d’idées, il faudra rédiger un discours sans manquer de l’oraliser au fur et à mesure. Une phrase trop longue, ou mal ponctuée, risque fort de complexifier à la fois la lecture et l’écoute. Une prise de parole est d’abord une affaire de rythmes. On veillera donc à les faire varier (phrase longue/phrase courtes), de sorte que le dynamisme soit immédiatement perceptible.

S’il y a des figures imposées (des données chiffrées, des éléments de langage, des citations, des remerciements, etc.), on s’efforcera de les disperser. L’attention de votre auditoire est un état fragile…

Trouver son prête-plume

Il va de soi que votre prête-plume doit être une personne de confiance. Vous allez lui confier une foule d’informations, souvent intimes, parfois sensibles. Par conséquent, il est bon de s’en remettre à un professionnel qui vit la discrétion comme l’un des fondements de son activité.

Puisque vous prononcerez ou que vous signerez le texte qu’il vous livrera, il importe que vous vous sentiez en accord avec son style, avec ses rythmes, que vous puissiez les faire vôtres. Que vous souhaitiez une création originale ou une reformulation de texte, il n’est pas inutile de lui demander une page test. Vous aurez ainsi une visibilité sur ce qui sera proposé et votre ghostwriter avancera en confiance. C’est, en tout cas, ainsi que je procède.

Assurez-vous aussi de pouvoir lui faire reprendre le texte autant de fois que nécessaire. Vous trouver avec, sous les yeux, un discours ou une lettre qui ne vous conviennent qu’à moitié est très inconfortable. Le discours est convaincant, percutant, lorsque l'orateur peut le porter avec aisance. L'exercice oratoire réussi ne se réduit pas à une suite de mots, c'est aussi une prise parole qui capte l'attention parce qu'une voix singulière est à l'œuvre. Ce n’est pas un texte que vous avez commandé, c’est votre texte. Vous devez pouvoir l’assumer devant votre auditoire ou votre lectorat.

Je m'occupe de la rhétorique, de l'éloquence, de la structuration du propos, de l'organisation des effets, de la personnalisation, du jeu avec les circonstances, etc. Je prends en charge tout ce qui relève de la préparation du discours, mais charge à vous de le faire vivre ensuite. Il en va de même pour toute forme de texte, y compris s'il a vocation à être lu. La force du propos repose aussi votre personnalité et sur la nature de vos fonctions.

Naturellement, mais cela va sans dire, mes prestations supposent une discrétion et, plus précisément, l'abandon de tout droit d'auteur une fois le texte livré (je signe, avec plaisir, l'accord de confidentialité et de non-divulgation).

À travers mes 10 années d'enseignement, j'ai été amené à saisir - puis expliquer - une invraisemblable quantité de postures conceptuelles, morales et idéologiques. Le professeur de philosophie est un caméléon intellectuel, il sait que la valeur d'une idée réside davantage dans sa force de persuasion (son positionnement à l'égard de la tradition, ses singularités linguistiques, ses audaces formelles), que dans la vérité qu'elle prétend porter. Le discours politique comme le discours d'entreprise gagnent à considérer un tel positionnement.

Il y a quelque chose du mercenaire dans cette mise à disposition de tous. Cela, néanmoins, ne va pas sans une forme d'engagement dont il faut dire un mot ici.

L'affrontement des idées est aussi une représentation et l'arène politique veut ses oppositions franches, parfois rugueuses, mais d'où le plaisir de la langue n'est pas exclu. Intensifier les effets percussifs, consolider les argumentaires, fluidifier le propos ; autant de pratiques qui valent finalement participation citoyenne.

C'est que la politique est aussi affaire d'émotion. Ce qui vibre dans l'adhésion est sensible à l'image, aux rythmes et aux sonorités. Le cœur de l'auditoire a ses raisons qu'une plume ne saurait méconnaître... Il en va de même pour le dirigeant qui, en capitaine inspiré, gagne à donner de la visibilité à sa stratégie d'entreprise pour susciter l'ardeur et les enthousiasmes.

Vous avez un projet et des convictions, j'ai les trames, les mots et les manières.

Comment j'appréhende le ghostwriting

Bien loin des tarifs d'un cabinet de conseil en communication, vous trouverez avec Atmosphères-T l'assurance de contenus de qualités, de corrections, de relectures ou de réécritures soignées, et surtout une force de proposition !

Atmosphères-T : prête-plume à Marseille